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Je propose, le monde dispose

21 octobre 2008

When you're looking at life, In a starnge new

When you're looking at life,
In a starnge new room,
Maybe drowning soon,
Is this the start of it all ?

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23 septembre 2008

Il fait chaud dans la station de métro, plus

    Il fait chaud dans la station de métro, plus chaud qu'en surface. Paradoxe étonnant que cette différence de température qu'il remarque chaque fois, il fait plus chaud sous terre que dessus...
Assis sur le banc de plastique orange, il peut suivre virtuellement la course du métro qui défile, petit point luminescent rouge, à l'instar du monstre de métal entre les station..

Un pigeon vole entre les stations Mérode et Schuman...   


En Construction ...


9 septembre 2008

"Demain aussi il faudra se lever..."

"Nous, les vivants parle de l'Homme, de sa grandeur et sa misère, sa joie et sa tristesse, sa confiance en soi et son anxiété."

Roy Andersson, dans son film "Nous les vivants", illustre la condition humaines par une suite de petits tableaux, chacun des personnages représentant une facette de cette condition.
De la groupie des "Black Devils", au condamner à mort pour sa négligence ,en passant par le psychiatre névrosé qui préfère prescrire plutôt qu'écouter, il pose une question fondamentale : "comment passons-nous notre temps sur terre ?
Au delà des loufoqueries hilarantes du film, on est amené à se poser des questions sur l'amour idéalisé, et impossible, sur la peine de mort et son sens, ou encore sur ce que sera demain.
"Nous les vivant" est film ou l'on rit beaucoup, mais sous le sourire, on trouve une tristesse grise, presque dépressive.
Ce petit bijoux suédois serait donc une comédie tragique ou une tragédie comique à notre sujet.   

9 septembre 2008

Pastiche - "Veuillez excusez les fautes du copiste - Grégoire Polet "

Et si Sylvain Crêtes était un rockeur tourmenté..
Au départ travail scolaire, sans prétention, ce texte pour moi signifie bien plus que ça...

... Le sachet de cocaïne restait sur la table, à côté du fauteuil où le gros bonnet de la maison de disques avait tenu son discours. Et je sniffais tout, rail après rail, jusqu'au bout. Complètement ravagé, je ne raisonnais plus juste. Je m'exhortais - je n'arrivais donc plus à parler, sans doute - mentalement. Je me disais que pour aller de l'avant, j'allais de l'avant; que pour foncer, je fonçais. J'ôtai mon bonnet et brutalement, m'arrachai des cheveux, je pris ma guitare, et le cuir chevelu abîmé, je me mis à jouer et à chanter comme un forcené. Je fis ainsi cinq chansons, où je voulais qu'aux textes désespérés et aux accords minimalistes et violents de la guitare saturée, on sente l'énergie de l'esprit dérangé qui les avait composés, la solitude, l'ambition et l'éternelle angoisse de vivre du caractère qui était le mien. Je ne voulais pas que mes chansons soient intelligibles, je ne voulais pas que ma musique crachée hors de moi représente quoi que ce soit, pour qu'on ne soit distrait par rien et qu'on ne puisse voir, dans cette cacophonie, autre chose que l'auteur qui l'avait joué, la rage et l'énergie de la personne et de ces heures uniques, réelles, présentes, et grâce à l'enregistrement durable, de mon être. La première des chansons était violente. La deuxième, je la fis douce mais oppressante. La troisième, apeurante. La quatrième folle et surprenante. La cinquième était longue et rythmée par mes silences. J'avais fait tout cela très vite, avec le sentiment urgent de rattraper et concentrer tout le temps perdu, passé et à venir, à reproduire l'expression authentique d'autres moi qui n'étaient pas moi et qui ne se seraient jamais abaissés à jouer mes compositions à moi. J'ouvris toutes les fenêtres que je pouvais et repassai ma musique à fond. Je chassai la fatigue que me procurait la drogue, j'hurlai pour m'encourager, je sautai contre le sol et le plafond, je me lacérai le corps avec les cordes, je trouvai l'éther que Marie-Jeanne utilisait parfois pour nettoyer des blessures, je le respirai bouffée après bouffée, jusqu'au bout. Je voulais encore jouer mais j'avais détruit tous mes instruments. Je tentais de tendre des cordes sur ma peau, mais le seul résultat auquel je parvenais était que je voyais mon sang couler sur mon corps. Maintenant nu, je me jetai contre les murs et roulai sur le sol, imprimant des taches pourpres partout sur le béton de mon appartement... .


publié là aussi ..

8 septembre 2008

She's lost control ...

Confusion in her eyes that says it all.
She's lost control.
And she's clinging to the nearest passer by,
She's lost control.
And she gave away the secrets of her past,
And said I've lost control again,
And a voice that told her when and where to act,
She said I've lost control again.

And she turned around and took me by the hand and said,
I've lost control again.
And how I'll never know just why or understand,
She said I've lost control again.
And she screamed out kicking on her side and said,
I've lost control again.
And seized up on the floor, I thought she'd die.
She said I've lost control.
She's lost control again.
She's lost control.
She's lost control again.
She's lost control.

Well I had to 'phone her friend to state my case,
And say she's lost control again.
And she showed up all the errors and mistakes,
And said I've lost control again.
But she expressed herself in many different ways,
Until she lost control again.
And walked upon the edge of no escape,
And laughed I've lost control.
She's lost control again.
She's lost control.
She's lost control again.
She's lost control.

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27 août 2008

Le vieux aus fientes.. 27/08/08

J'étais devant mon ancienne école (ARRCampin), et là un vieux bonhomme ventripotent avec son vieux chapeau, sa barbe de deux jour et son cigare au coin de la bouche m'arrête :

- Vous passez souvent par ici ?
- Oui, j'ai été élève un an dans cette école.
- Ah, et je me demandais, avez vous déjà remarqué ces trois gros tas de merde la au-dessus  ?
Et il me montre avec son gros doigt boudiné des monts de fientes de pigeons sur les rebords des fenêtres de l'église en face..
-Non ce détail, au combien truculent ne m'avait jamais frappé..
-Et bien je voulais le faire partager !
Et là il part d'un rire gras, gras qui dans sont cas était le parfait exemple de ce qu'est un euphémisme.

14 août 2008

5 bonnes raisons de .. Garder vos poils =D

Un jour, je discutais de ma pilosité généreuse avec Pauline.. pauline
Et puis je pars dans un trip "fête nationale du poil" enfin bref vous voyez
le genre..
Delà je décide de commencer à écrire une lettre a ce cher Albert, je veux
dire ce bon vieux Saxe-Cobourt, fin le Roi quoi  !


Tournai le 19 février,

Si je prends, aujourd'hui, la liberté de vous écrire ce n'est point pour quémander quelques reconnaissances personnelles ou encore pour implorer de futiles privilèges. Non, si je prends ma plume aujourd'hui c'est bien pour vous entretenir d'un problème qui sévit à un niveau national : le rejet, et presque le dégout du belge pour la pilosité !
Phénomène de mode qu'est "l'imberbitude" ! Il y a 40 ans, nous abordions fièrement nos poils ne nous souciant guère du jugement de l'Autre. C'est bien là que le bas blesse, ce phénomène "anti-pilaire" est profondément discriminatoire. Certaines personnes n'osent même plus se mettre en tenue de plage quand ils font, par exemple, une escapade bien méritée au littoral..
De plus, on sous-estime bien au-delà du raisonnable les facultés insoupçonnées de nos poils. Ceux-ci peuvent par exemple nous tenir chaud en hiver, et en ces temps de crises et de flambé des prix du pétrole, il est toujours intéressant de baisser de un ou deux degrés le thermostat..
Une solution a ce problème serait de créer un fête nationale du poil, pour revaloriser auprès de tout les belges cet atout délaissé.
Une autre solution plus radicale mais plus intéressante financièrement parlant pour l'état serait de taxer tout les moyens d'épilation existant sur le marcher belge.   
En espérant avoir trouvé auprès de vous une oreille attentive et passionnée,

Veuillez, votre Majesté agréer mes sentiments pileusement distingué.

albert2

 

7 août 2008

Drugs are helpful

Mixwit
7 août 2008

Salut les ptits Lu ! Aujourd'hui Adrien à décidé

Salut les ptits Lu !

Aujourd'hui Adrien à décidé de changer. Le principe est très simple: "Moins se poser de questions pour plus s'amuser"..
Oui, oui, oui, je vous vois venir : "On ne peut pas changer parce qu'on le décide c'est de la connerie.."
Ben au fond je suis d'accord avec vous, mais l'important dans la phrase juste au dessus c'est le mot "connerie".
Et oui ce sera peut-être une connerie magistrale mais ça me changera..
Alors fuyez moi parce que si ça tourne mal je risque terminer en connard fini..

Il fait gris, bonne nuit !

Ps : article écrit un soir ou j'étais de bonne humeur, ceci explique surement cela^^ ..  

21 avril 2008

Cookie Monster

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